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Quand Dieu était un lapin

 

Ecrit par Sarah Winman, ce livre fait partie de mes déceptions littéraires (et oui : il en faut bien !) 

 

Angleterre, 1968. L'année où Paris est descendue dans la rue, où Martin Luther King a perdu la vie à cause d'un rêve, et où Eleanor Moud Portman, surnommée Elly, est née. Le monde de la jeune Elly est façonné par ceux qui l'habitent : ses parents, aimants mais distraits ; son frère et fidèle allié, Joe ; sa meilleure amie Jenny, au langage fleuri et à la persistante odeur de friture ; mais aussi un dandy vieillissant amateur de claquettes, ou un sosie de Shirley Bassey ; et enfin, bien sûr, un lapin modestement baptisé Dieu. 
Aux confluents de Little Miss Sunshine et des Cendres dAngela, Sarah Winman signe un premier roman universel qui a déjà ravi plus d'un million de lecteurs de par le monde. L'amitié, l'amour fraternel, mais surtout la puissance magique des souvenirs d'enfance sont ici traités avec délicatesse, grâce et humour

 

Pour être honnête, ce livre a été tellement décevant que j'ai lu la fin en diagonale.

Ce qui n'empêche que j'ai pu me forger une opinion immédiate sur le contenu de ce roman.

Tournant la religion en dérision, Ce livre raconte la vie de la petite Elly, entourée de son frère, ses parents, sa meilleure amie Jenny.

La première partie du livre traite de son enfance. La seconde nous amène une vingtaine d'années plus tard. 

Je n'ai pas accroché à tous ces personnages, hors normes, chacun à leur manière.

Le lapin d'Elly, baptisé Dieu, n'a pas, pour moi, de véritable sens dans ce roman alors que le titre le concerne.

Mis à part un style d'écriture plutôt facile à lire, ce livre comporte plus de défauts que de qualités.



02/05/2013
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